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  • Critique de LITTLE MISS SUNSHINE – Avis & analyse par Critiques d'un passionné

    Découvrez notre critique détaillée du film LITTLE MISS SUNSHINE . LITTLE MISS SUNSHINE ❤️❤️❤️❤️💛 Voici la fabuleuse histoire des Hoover, une famille dysfonctionnelle et pas comme les autres. Le père est un écrivain, un peu looser sur les bords, cherche à vendre sa méthode pour réussir sa vie. L’oncle est un dépressif qui sort de l’hôpital suite à une tentative de suicide. Le grand père vulgaire et drogué. Le fils qui a fait vœu de silence dans ce monde où il ne se reconnait pas. La mère un poil névrosée essaie de faire que tout se passe pour le mieux. Et puis, il y a la petite Olive, un peu grassouillette, qui ne rêve que d’une chose : participer à l’élection de Little Miss Sunshine. Mais ne vous y trompez pas, malgré les apparences, on a bien affaire ici à un Feelgood movie d’une force inouïe. On va suivre cette famille dans un road movie avec pour objectif ce fameux concours. Et une chose est claire, on rigole énormément, mais ça arrive aussi parfois à se montrer très touchant. Que ce soit les personnages, les dialogues ou bien les situations comiques, ça fonctionne à merveille. Mais, ce qui fait la grande force de ce film, c’est qu’en plus d’être une irrésistible comédie, c’est loin d’être bête et ça fait énormément réfléchir. Ca aborde divers thèmes universels, comme le regard des autres, ce qu’il faut pour être heureux, doit-on forcément rentrer dans le moule pour réussir… C’est extrêmement malin dans son écriture et le fameux rêve américain en prend pour son grade. On craque littéralement pour cette gamine qui arrivera à unir autour d’elle toute sa famille et à panser leurs plaies. Et la BO majestueuse sublime cette sensation de bonheur véhiculée par ce film qui nous crie à longueur de temps « SOYEZ VOUS-MEME !!!» Partager

  • Critique de JOKER – Avis & analyse par Critiques d'un passionné

    Découvrez notre critique détaillée du film JOKER . JOKER ❤️❤️❤️❤️❤️ Donc voici le film qui fera certainement beaucoup de bruit aux prochains oscars. Car Joker est clairement un film qui marquera l’histoire du cinéma et dont on parlera encore dans de nombreuses années. Pourtant, à la base j’étais vraiment septique et je ne voyais pas l’intérêt du projet. Car passer après Nicholson et surtout Ledger me semblait TRES compliqué et surtout le personnage devait se remettre de la purge récente qu’a été « Suicide Squad » avec la prestation « douteuse » de Leto. D’autant plus qu’en général, faire une origine story d’un personnage aussi emblématique a souvent tendance à le démystifier. Mais Joker réussi à éviter tous ces pièges et à en faire une œuvre majeur en surprenant son public et en ne le brossant pas dans le sens du poil. Déjà, NON ce n’est pas un énième film de superhéros. Ici, il n’est jamais question de superpouvoir et de combats dantesques et même si il se base sur un comic book populaire, le film se veut ultra réaliste. Même si l’ombre de Batman flotte sur le film, il n’est pas utile d’être un familier de cet univers pour l’apprécier. On a finalement affaire à un grand drame psychologique nous montrant comment un personnage affublé d’un handicap mental va basculer dans la folie à force de discrimination, du rejet des autres et de la société. Et même si le film se passe dans les années 80, il fait souvent écho à notre actualité. Le film emprunte d’ailleurs beaucoup plus à des films comme « Taxi Driver » et « La valse des pantins » qu’aux films de super héros. La présence de Robert De Niro, héros des deux films cités, n’est d’ailleurs pas anodine tant le film s’en inspire. Pour en revenir à la prestation de Joaquin Phoenix, elle est complètement folle (oui, je sais, c’est facile…) et lui tracera surement un chemin vers les oscars (où il devra certainement batailler avec Bard Pitt pour son « Ad Astra »). Rien que sa transformation physique pour le rôle force le respect. Jamais il ne cherche à singer les anciennes apparitions cinématographiques du personnage. Il apporte une humanité troublante au Joker le rendant à la fois particulièrement glaçant et attachant. Un attachement qui sera souvent dérangeant car il n’excuse en rien les agissements du Joker et ses pétages de plombs, même si il aide à comprendre son basculement. Car le film aurait facilement pu tomber dans le piège d’en faire un anti-héros, mais on a bien affaire ici à un psychopathe en devenir. Pour parfaire le tout, le film nous offre des plans somptueux qui s’impriment dans la rétine, grâce à une photographie magnifique alternant des colorimétries froides qui deviennent de plus en plus criardes au fur et à mesure que le Joker prend le dessus. Et puis cette BO magnifique aussi anxiogène que poétique qui enfonce le clou. Bref ma grande baffe de la rentrée, à l’image de la réaction d’un spectateur derrière moi à l’arrivée du générique « WHAOU !!! » Partager

  • Critique de EMPIRE OF LIGHT – Avis & analyse par Critiques d'un passionné

    Découvrez notre critique détaillée du film EMPIRE OF LIGHT . EMPIRE OF LIGHT ❤️❤️❤️💛 Avec EMPIRE OF LIGHT, Sam Mendes fait un retour aux sources en nous proposant un film intimiste, loin de ses grosses productions de ces dernières années. Après Chazelle et Spielberg, c’est à son tour de nous livrer son hommage au 7e art, mais en s’intéressant aux salles de cinéma, à leurs gérants, leurs ouvreurs, leurs projectionnistes… Mais même si son film ressemble parfois à une déclaration d’amour au cinéma, c’est bien plus que ça. C’est une romance qui abordera de nombreux thèmes, comme la solitude, le racisme, la dépression, le pouvoir de la musique et du cinéma, ou le sentiment d’appartenance à un groupe… Et c’est peut être bien le problème que j’ai avec le film car, malgré ses indéniables qualités, on en voudrait plus. Le fait de vouloir aborder trop de sujets fait que les thèmes ne sont souvent qu’effleurés. Idem pour les personnages secondaires, qui sont pour la plupart attachants, mais certains personnages auraient mérités d’être plus développés. Mais malgré cette réserve, ça reste vraiment maitrisé. Que ce soit les plans et la photographie qui régalent les yeux ou bien le jeu des acteurs, les dialogues et cet humour british, ça fonctionne parfaitement. Pas mal de clins d’œil feront sourire les plus cinéphiles, et le film offre certaines scènes mémorables, magnifiées par une très belle partition musicale. Et surtout, Olivia Colman, quelle actrice !!! Une nouvelle fois fabuleuse et d’une justesse sidérante, avec un jeu tout en finesse, mais qui vient chercher des émotions au plus profond du spectateur. Donc, même si sur la forme, il n’y a pas grand-chose à reprocher à EMPIRE OF LIGHT, il pâtit de son côté fourre tout et j’aurais voulu voir ses thématiques, comme ses personnages, développés plus en profondeur… Partager

  • Critique de MAY DECEMBER – Avis & analyse par Critiques d'un passionné

    Découvrez notre critique détaillée du film MAY DECEMBER . MAY DECEMBER ❤️❤️ Parfois, tu vas voir un film en te disant que tout semble être réuni pour que tu passes un bon moment et puis… c’est la déception… Et sur le papier, il y avait tout pour me plaire, avec Todd Haynes aux commandes, le duo Natalie Portman-Julianne Moore, ou cette histoire promettant de jouer avec les zones sombres de ses personnages. Mais pourtant, le film m’a glissé dessus sans jamais réussir à réellement m’attraper… La faute à une ambiance d’une froideur abyssale, qui est certainement voulu, mais qui met une telle distance entre les personnages et le spectateur que je n’ai jamais réussi à avoir la moindre empathie pour eux. Plus problématique, la seule émotion que j’ai ressenti devant le film, c’est un ennui profond qui n’a pas été aidé par le rythme particulièrement lent de l’ensemble. D’autant plus que j’ai passé pas mal de temps à me demander où le réalisateur voulait réellement nous emmener, tant les thèmes me semblaient abordés en surface. Le film m’a semblé même assez sage alors qu’il s’attaque à un fait divers qui a défrayé la chronique… Heureusement, tout n’est pas mauvais pour autant, notamment une photographie soignée ou son casting, et quelques rares moments qui ont réussi à me marquer. Je pense à un cours de théâtre, mais surtout à un monologue de Portman face caméra complètement fou… Et plus que les deux actrices, la belle surprise est certainement Charles Melton qui est certainement le personnage le mieux développé. Bref, j’aurai adoré aimer ce film et, vu les bons retours, le souci vient peut-être de moi, du fait que je n'ai pas trouvé les codes pour l’apprécier, mais je suis malheureusement passé totalement à travers. Partager

  • Une saison qui va alterner le chaud et le froid…

    Découvrez notre critique détaillée du film QUAND VIENT L’AUTOMNE . QUAND VIENT L’AUTOMNE ❤️❤️💛 Une saison qui va alterner le chaud et le froid… Michelle, une grand-mère sans histoire, vit paisiblement sa retraite dans un village bourguignon avec son amie Marie-Claude, dont le fils est en prison. Elle attend avec impatience son petit-fils qui doit venir pour les vacances de la Toussaint, mais rien ne va se passer comme prévu… Je ne peux pas en dire plus sur l’histoire, car le film est long à démarrer… voire très long... Alors oui, la lenteur de cette première partie est justifiée par le sentiment de solitude de notre héroïne, dont le réalisateur filme admirablement la routine, mais cela ne m’a pas empêché de m’ennuyer un peu. Le film alterne les genres, passant d’un drame empreint d’humour noir au thriller. La partie dramatique du film est d’ailleurs la plus intéressante, avec un flou moral et une zone grise qu’on aurait aimé voir davantage approfondie. Le réalisateur nous propose le portrait d’une femme mélancolique, à la fois touchant et ambigu, offrant ainsi un rôle en or à Hélène Vincent. Elle est accompagnée d’une très bonne Josiane Balasko, mais il manque tout de même quelque chose pour que leur duo emporte totalement le spectateur. Malheureusement, le personnage de Vincent, voyou au grand cœur, est assez caricatural. Ozon joue avec le spectateur en usant habilement des non-dits, des sous-entendus et des ellipses temporelles judicieuses. Le spectateur cherche donc à combler ces vides et à se faire sa propre opinion. Mais là aussi, même si un réel suspense s’installe quant aux motivations des personnages, plusieurs facilités et incohérences viennent quelque peu gâcher le tableau. Au final, à trop vouloir s’éparpiller dans les genres, comme dans les thèmes abordés, rien ne prend réellement. Et même s’il n’est pas dénué de qualités, on a finalement affaire à un film mineur dans la filmographie du réalisateur… Partager

  • Critique de GODZILLA MINUS ONE – Avis & analyse par Critiques d'un passionné

    Découvrez notre critique détaillée du film GODZILLA MINUS ONE . GODZILLA MINUS ONE ❤️❤️❤️💛 Le film n’avait eu le droit qu’à une sortie de deux jours en décembre dernier (stratégie curieuse), mais devant le succès critique et public, il revient donc pour deux semaines dans nos salles, et clairement l’expérience vaut le détour. On y suit soldat kamikaze qui n’a pas voulu se sacrifier pour son pays et portera sur lui la honte et le regard des autres. De retour dans sa ville ravagée par la guerre, il recueillera une SDF et un bébé orphelin… Et j’allais oublier, un gros lézard vert qui tire des lasers vient foutre le bordel… Car même si le mythique monstre est bien au cœur du récit, le grand atout du film est de constamment ramener le récit à échelle humaine. Il fait le choix judicieux de placer son histoire à la fin de la guerre, avec les traumas d’un peuple suite à la destruction nucléaire. Le film prend ainsi un vrai aspect dramatique, avec ses personnages en quête de rédemption ou de reconstruction, qui vont devoir se serrer les coudes face à un gouvernement qui semble les avoir oubliés… Après, on pourra regretter malgré tout que les arcs narratifs sont tracés dès le début, et que le film manque peut-être de surprise de ce côté-là. Mais, si on accepte le surjeu inhérent au cinéma japonais, le film offre même quelques jolis moments d’émotion. Mais surtout, ce qui saute aux yeux, c’est qu’avec son budget dérisoire de 15 millions d’euros, le film ridiculise pas mal de grosses productions hollywoodiennes. Je ne vais pas vous mentir, les effets spéciaux ne sont pas tous parfaits, mais avec un si faible budget, le rendu proposé est impressionnant. Et ce en grande partie grâce à une mise en scène qui n’oublie jamais que dans un film de monstre, ce qui prime avant tout, c’est le rapport d’échelle. Chaque apparition de Godzilla est terrifiante, et le fait de les filmer en grande partie à hauteur d’homme décuple la puissance des scènes. Il utilisera aussi quelques plans séquences alternant les contre-plongées et les plan larges démontrant tout le pouvoir de destruction du monstre. Le film joue continuellement avec les codes du film de guerre, de catastrophe ou bien horrifique, et plus étonnant, on retrouve des références aux DENTS DE LA MER, avec partie de pêche d’une tension extrême… Le tout aidé par une bande son des plus efficaces qui offre au spectateur le grand spectacle qu’il est venu chercher. Partager

  • Un anti Pretty Woman irrévérencieux et explosif

    Découvrez notre critique détaillée du film ANORA . ANORA ❤️❤️❤️❤️ Un anti Pretty Woman irrévérencieux et explosif Anora, jeune strip-teaseuse de New York, rencontre le fils immature d’un oligarque russe. Ce qui s’ensuit est une improbable histoire d’amour : une sorte de PRETTY WOMAN version trash, enchaînant fêtes, scènes de sexe et débauche. La première partie, bien que nécessaire pour la suite, devient par moments un peu épuisante en raison de la complaisance avec laquelle Sean Baker filme les scènes érotiques et le corps des femmes. Puis le film prend un virage surprenant, se transformant en un buddy movie jouissif, et est probablement le film qui m’a le plus fait rire cette année. Que ce soit grâce au comique de situation, aux dialogues ciselés ou aux punchlines percutantes, ANORA est souvent très drôle, rappelant l’esprit caustique et décalé des films des frères Coen. Mention spéciale pour cette longue scène d’anthologie dans une maison : un véritable chef-d'œuvre de comédie visuelle et narrative. Le film oscille alors entre thriller, drame et comédie, flirtant même parfois avec le burlesque. Sean Baker a un vrai sens du rythme, et, grâce à un montage maîtrisé, les scènes s’enchaînent pour le plus grand plaisir des spectateurs. Il joue aussi admirablement avec les ruptures de ton, transformant un récit excessif et sensuel en un film plus profond, teinté de mélancolie et de réflexions sombres. Visuellement, l’ensemble est somptueux, avec une superbe photographie : d’abord flamboyante et colorée dans sa première moitié, elle devient plus glaciale et intense à mesure que l’histoire avance. L’humour fonctionne aussi grâce à un casting au diapason, notamment un trio d’hommes de main jubilatoires et charismatiques, qui suscitent l’empathie malgré leurs rôles de personnages secondaires. Mais surtout, ANORA, c’est la révélation de Mikey Madison. Elle déploie une énergie folle et une palette de jeu magistrale, que ce soit en comédie, en action ou en drame. Elle imprègne chaque scène, nous faisant rire et nous émouvoir avec une aisance remarquable. Ce rôle pourrait bien la propulser au sommet et lui valoir une nomination aux Oscars. Et même si ma palme d’or personnelle reste LES GRAINES DU FIGUIER SAUVAGE (voire EMILIA PEREZ ), ANORA est une très belle surprise aussi surprenante que drôle et touchante, que je vous invite vivement à découvrir… Partager

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  • CINEMA | Critiques d'un passionné

    Critiques d'un passionné sur les films qu'il voit au cinéma Critiques cinéma Découvrez nos critiques des films découverts au cinéma, ainsi que certains coups de coeurs Rechercher un film Zootopie 2 ❤️❤️❤️ Une suite aussi divertissante que fainéante… Il y a neuf ans sortait ZOOTOPIE, véritable surprise du côté de Disney : une claque visuelle, un univers bourré d’inventivité et un propos politique digne du meilleur Pixar. Alors, quand une suite a été annoncée, j’ai eu un peu peur. Disney a longtemps... Lire la suite Bugonia ❤️❤️❤️ Un délire complotiste à la fois absurde et fascinant. Deux cousins conspirationnistes kidnappent une grande cheffe d’entreprise pharmaceutique pour la convaincre qu’elle est en réalité une extraterrestre envoyée sur Terre afin de détruire l’humanité. Voilà le point de départ délirant de BUGONIA... Lire la suite Des preuves d'amour ❤️❤️❤️💛 Ella Rumpf ne porte pas le bébé… mais elle porte le film. Dans quelques mois, Céline va devenir mère pour la première fois, même si elle n’est pas enceinte : c’est sa femme, Nadia, qui porte leur enfant. Au fil des derniers mois de grossesse, Céline cherche sa place et... Lire la suite Wicked 2 ❤️❤️❤️ Ce tour de magie où le lapin refuse de sortir du chapeau L’année dernière, WICKED avait été une énorme surprise, au point d’être à deux doigts d’intégrer mon TOP 10 2024. J’attendais donc ce deuxième volet avec une vraie impatience, d’autant qu’il devait... Lire la suite Dossier 137 ❤️❤️❤️💛 Anatomie d’une violence systémique Avec DOSSIER 137, Dominik Moll s’aventure sur le terrain glissant des violences policières. Mais loin d’en faire un film à charge, il adopte un point de vue subtil en... Lire la suite Le gang des amazones ❤️❤️❤️ Elles braquent le Vaucluse… Mais aussi nos certitudes… LE GANG DES AMAZONES retrace le parcours réel de cinq femmes ayant multiplié les cambriolages dans le Vaucluse à la fin des années 1980. 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Lire la suite Une bataille après l'autre ❤️❤️❤️❤️💛 PTA : Un grand film après l’autre Je ne savais rien de ce nouveau film de Paul Thomas Anderson, mis à part quelques affiches, dont celle d’une femme enceinte, fusil d’assaut en main, qui avait piqué ma curiosité. Et, en effet, le réalisateur sort ici de sa zone de confort pour... Lire la suite Left-handed girl ❤️❤️❤️❤️💛 Un drame lumineux, éclatant de couleurs et d’humanité. LEFT-HANDED GIRL surprend dès son ouverture : sa musique et ses couleurs éclatantes semblent annoncer une certaine légèreté, mais il s’agit pourtant bien d’un drame. Shih-Ching Tsou y raconte le... Lire la suite L'intérêt d'adam ❤️❤️❤️💛 Une plongée suffocante et bouleversante au cœur d’un hôpital en crise. Avec son deuxième film, Laura Wandel confirme qu’elle est bien plus qu’une promesse du cinéma social belge. Après UN MONDE, qui observait le harcèlement scolaire littéralement à hauteur d’enfant, elle déplace ici son regard vers... 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Si j’étais resté dubitatif face à son dernier acte, sa première partie m’avait marqué par sa maîtrise et sa façon de jouer avec les genres et les attentes du public. J’étais donc curieux de... Lire la suite 28 ans plus tard ❤️❤️❤️ Formellement impressionnant, narrativement inégal Plus de vingt ans après la sortie du premier opus, Danny Boyle et Alex Garland se retrouvent pour prolonger une saga devenue culte dans le paysage du film de zombies. Si l’annonce avait de quoi exciter, le résultat m’a laissé un sentiment mitigé. Je suis plutôt fan des deux premiers opus, qui avaient... Lire la suite 13 jours, 13 nuits ❤️❤️❤️💛 Un thriller tendu au cœur du chaos. Alors que les troupes américaines s’apprêtent à quitter Kaboul en août 2021, les Talibans prennent d’assaut la capitale. L’ambassade de France devient alors l’un des derniers refuges pour les Afghans souhaitant fuir le pays. Le film est basé sur... Lire la suite Elio ❤️❤️💛 Rendez-moi Pixar !!! Le studio Pixar revient avec ELIO, un film original, ce qui mérite d’être salué à l’heure où les annonces de INDESTRUCTIBLES 3, TOY STORY 5 et COCO 2 envahissent les écrans. Mais cette originalité suffit-elle à retrouver la magie d’antan ? ELIO raconte l’histoire d’un... Lire la suite Life of Chuck ❤️❤️❤️❤️💛 Vous ne le connaissez pas encore. Mais vous lui direz merci ! Comme beaucoup, j’ai découvert Mike Flanagan avec sa mini-série THE HAUNTING OF HILL HOUSE : un chef-d’œuvre mêlant film de fantômes et drame familial bouleversant. Il semblait donc logique qu’il se tourne un jour vers... Lire la suite

  • Nicolas Devort, ce comédien aux milles visages…

    Découvrez notre critique détaillée du spectacle LISA LISA ❤️❤️❤️💛 Nicolas Devort, ce comédien aux milles visages… Théâtre des Corps Saints - 15h40 Une seule chose a suffi pour me convaincre de découvrir ce spectacle : Nicolas Devort.Je l'avais découvert dans LE BOIS DONT JE SUIS FAIT , mais comme beaucoup, c'est avec son fabuleux DANS LA PEAU DE CYRANO que son immense talent m'a explosé aux yeux. Ce comédien a un véritable don. Seul sur scène, il incarne avec une fluidité exemplaire une pléiade de personnages, sans aucun décor ni accessoires, et surtout avec la prouesse de ne jamais perdre le spectateur. Par une mimique, une gestuelle ou un timbre de voix, il jongle entre les différents protagonistes et le public finit par oublier qu'il est seul, son imagination faisant le reste pour le transporter dans le récit. Je ne m'étais donc absolument pas renseigné sur l'histoire, et je ne m'étendrai pas sur le sujet ici. On découvre une mère et sa fille qui vivent une relation fusionnelle suite à la mort du père. Et le jour où chacune fait entrer un homme dans sa vie, cela va bousculer les liens qui unissent ces deux femmes. Pour tout dire, dans un premier temps, en découvrant cette ado qui se cherche, j'ai même eu peur d'une redite avec le fameux DANS LA PEAU DE CYRANO , et j'ai mis un peu de temps à rentrer dedans. Sauf que c'est assez malin et bien plus profond qu'il n'y paraît. L'histoire a même fini par me saisir sans jamais me relâcher... L'absence de décor fait qu'on est focalisé sur le jeu du comédien, nous mettant au cœur des relations entre les personnages. Seules les lumières et la musique viennent parfois inviter le spectateur dans les introspections de l'adolescente. C'est parfaitement dosé, jamais forcé, et cela renforce le propos. Oui, Nicolas Devort a un véritable don : avec rien, il réussit à captiver notre attention et à nous faire plonger dans ses histoires. Je suis déjà curieux de découvrir sa prochaine création... Partager

  • Critique LE MONTESPAN – Avis & analyse par Critiques d'un passionné

    Découvrez notre critique détaillée du spectacle LE MONTESPAN LE MONTESPAN ❤️❤️💛 Des fois, quand tu vas voir un spectacle, tu en attends peut-être trop et ta déception n’en est que plus forte… Après, je me dis, que vu l’engouement autour du spectacle, ça vient certainement de moi, ou bien des conditions dans lesquelles je l’ai vu : chaleur et un public qui comme moi ne semblait pas réceptif… Mais attention, la pièce a d’indéniables qualités. Il y a d’abord son très bon casting, avec notamment un Mickaël Hirsch survolté enchainant à merveille ses différents rôles (sa scène en prince d’Espagne est d’ailleurs un délice). Je retiendrai aussi la scénographie originale, avec son travail sur les lumières impressionnant… Le problème vient plus pour moi de l’écriture. J'ai eu énormément de mal à rentrer dedans et ça n’a jamais réussi à m’emporter… Ça se veut dramatique, mais mon manque d'attachement aux personnages fait que je n'ai pas été touché. Ça se veut burlesque, mais malgré quelques fulgurances, j’ai rarement ri, comme une grande partie de la salle hier… Bref, un avis vraiment mitigé dû au manque d’émotions ressenties… Partager

  • Festival OFF 2025 Critique DEUX RIEN – Avis & analyse par Critiques d'un passionné

    Découvrez notre critique détaillée du spectacle DEUX RIEN DEUX RIEN ❤️❤️❤️❤️ La scierie - 11h20 Deux clowns tristes. Deux Chalots des temps modernes. Deux personnages parfois maladroits, ce qui les rendra d'autant plus touchants... Deux clochards qui vont s'observer, s'apprivoiser et apprendre à s'aimer. Deux comédiens en symbiose totale. Deux acteurs, qui sans aucun dialogue vont réussir à nous submerger d'émotions, par leurs gestes, leurs mimiques, leurs regards... Le spectacle naviguera continuellement entre le rire, souvent burlesque et la poésie, en offrant certains tableau d'un onirisme fou. De leur univers si singulier se dégage une poésie folle qui est sublimée par quelques chorégraphies musicales, jusqu'à un final qui sera un vrai tourbillon d'émotions... J'en suis ressorti le sourire au lèvre, le coeur léger et avec cette sensation de sortir d'un rêve que je ne suis pas prêt d'oublier... Ils m'ont dit DEUX RIEN avant même que je leurs ai dit MERCI Partager

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