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  • Netflix nous offre certainement la meilleure série de 2025

    Découvrez notre critique détaillée de la série ADOLESCENCE ADOLESCENCE ❤️❤️❤️❤️💛 Netflix nous offre certainement la meilleure série de 2025 La police anglaise débarque, aux aurores et armes aux poings, dans une maison pour arrêter un individu suspecté de meurtre. Ça pourrait être le début d’un polar judiciaire classique, sauf que le suspect est un adolescent de treize ans. Mais plus que tout, ADOLESCENCE impressionne par sa forme. Jack Thorne et Stephen Graham nous livrent une mini-série anglaise de quatre épisodes d’une heure, réalisés en plans-séquences. Et il s’agit bien de véritables plans-séquences, sans aucun artifice pour masquer une coupe. Un procédé qu’ils avaient déjà utilisé pour plonger les spectateurs dans l’enfer des cuisines dans le fabuleux film THE CHEF. Chaque épisode aura nécessité trois semaines de répétitions et une semaine de tournage avec deux prises par jour. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que le résultat est bluffant. Chaque épisode est une véritable chorégraphie où la caméra virevolte au milieu des décors, suit les personnages à travers les bâtiments, enchaîne avec des déplacements en véhicule et va jusqu’à l’utilisation impressionnante d’un drone. Même si le défi technique en met plein les yeux, ce n’est pas le seul atout de la série. ADOLESCENCE surprend aussi par son fond : elle choisit de prendre pour criminel un enfant, mais sans en faire le centre du récit, et encore moins la victime. Au fil des épisodes, la série accumule les points de vue, chaque personnage n’apparaissant finalement que dans un ou deux épisodes. Le récit s’attarde ainsi sur l’arrestation, l’enquête, mais aussi l’étude psychologique du suspect et l’impact de l’affaire sur son entourage. Chaque épisode possède ainsi sa propre identité, renouvelant constamment l’impact du plan-séquence sur le spectateur. Le côté polar est rapidement mis en retrait pour laisser place à des thématiques plus profondes, comme le harcèlement, la culture incel ou l’influence des réseaux sociaux. La série pousse aussi à la réflexion sur le fossé qui sépare parents et enfants, que ce soit dans leur rapport au numérique ou dans la question de la responsabilité des parents face aux actes de leurs enfants. Et elle le fait avec brio, sans être manichéenne ni moralisatrice. Et bien sûr, le casting est irréprochable, avec des personnages qui évitent les stéréotypes et dont le jeu renforce l’authenticité du propos. Mais c’est surtout le jeune Owen Cooper qui impressionne : il livre une performance saisissante, à la fois intense et troublante, maîtrisant avec brio toute l’ambivalence de son personnage. Netflix nous offre ici l’une des meilleures séries de son catalogue et prouve une nouvelle fois à quel point les Anglais excellent dans l’art de surprendre les spectateurs. ADOLESCENCE est une véritable claque audiovisuelle qui laisse le spectateur sans voix… Partager

  • Critique NORMAL PEOPLE – Avis & analyse par Critiques d'un passionné

    Découvrez notre critique détaillée de la série NORMAL PEOPLE NORMAL PEOPLE ❤️❤️❤️❤️💛 Ca faisait plusieurs mois que je voulais rattraper cette série, aux critiques souvent dithyrambiques, mais il faut avouer que le sujet, rassemblant tous les stéréotypes du genre, ne me faisait pas rêver : une histoire d’amour entre la star de foot du lycée et l’intello moquée par les autres… Mais c’était sans compter sur une écriture exemplaire : que ce soit son scénario, ses dialogues millimétrés, mais avant tout ses personnages. Au final, comme le prouve à la perfection la série, ce qui est important, plus qu’une histoire, c’est la façon de la raconter. Mini-série Irlandaise de 12 épisodes de 30 minutes, vous auriez tort de passer à côté de ce succès plus que mérité qui trouve même l’audace de venir titiller l’excellente série « Le jeu de la dame » aux prochains Goldens Globes. On va donc suivre l’histoire d’amour entre ces personnages, du lycée à la fin de la fac, où rien ne sera simple. Ce sera une succession de passion, de ruptures, de retrouvailles où le lien qui uni nos héros sera même plus fort que l’amour qu’ils se portent. Ce qui marque le plus dans la série c’est à quel point elle nous parle. Rarement une série n’aura aussi bien porté son nom. La série s’attardera sur la psychologie des héros, leurs choix, leurs traumatismes, leurs failles… Il sera beaucoup question de sujet universels comme les non-dits, le regard des autres, le consentement, les actes manqués, les rapports de classe, la difficulté à communiquer, la dépression ou même ce fameux "lâcher prise"… Autant de thèmes qui font que le spectateur arrivera d’autant plus facilement à s’identifier et donnant à l’ensemble un côté intemporel. Mais tout ceci n’est possible que grâce au jeu impressionnant des acteurs qui portent à eux seuls la série. L’alchimie entre les deux héros apporte à leur relation une complicité évidente. Couplé à une réalisation très soigné, le verdict est là : ON Y CROIT. La mise en scène utilise souvent des gros plans faisant la part belle aux émotions dégagées par les personnages. Le moindre regard ou sourire entre les personnages, ainsi que certains plans contemplatifs font que la complicité entre le couple transperce l’écran. Il y a une réelle pudeur et tendresse dans leur relation, jusque dans les nombreuses scènes de sexe, d’une grande sensualité mais loin du vulgaire et du voyeurisme. Au final, cette histoire d’amour aussi magnifique que cruelle restera comme une TRES grande série comme on en voit rarement, et une vague d’émotions intense. ENORME COUP DE COEUR Partager

  • Critique LE QUATRIÈME MUR – Avis & analyse par Critiques d'un passionné

    Découvrez notre critique détaillée du spectacle LE QUATRIÈME MUR LE QUATRIÈME MUR ❤️❤️❤️ 1982 : Georges s'envole pour un Liban en guerre, où il décide de monter la pièce Antigone en rassemblant des comédiens issus de chaque camp, et créer ainsi une trêve. Dans cette adaptation du roman de Sorj Chalandon, la Compagnie des Asphodèles, nous livre une pièce qui est un hymne à la tolérance et au vivre ensemble, mais aussi un flagrant constat de l'absurdité des hommes et de leur violence... Chacun prendra tour à tour la narration proposant par moment une mise en abîme de la tragédie d'Antigone. La pièce brille par sa mise en scène très moderne. Les comédiens joueront la musique en live, façon beatbox, apportant un côté organique à l'œuvre. De même les changements continus du décor, composés d'éléments métalliques, se fait avec fluidité et sans apporter le moindre temps mort. Tout est parfaitement chorégraphié, donnant parfois des airs de ballet, comme lors d'interludes où la gestuelle apporte une certaine poésie. Je regretterai toutefois une mise en place un peu longue, car la pièce prend tellement d'ampleur quand les comédiens sont réunis, que j'aurais aimé qu'elle se focalise plus sur cette partie. Il n'en reste pas moins un spectacle original et engagé qui mérite de s'y attarder. Partager

  • Critique CONCERTO POUR DEUX CLOWNS – Avis & analyse par Critiques d'un passionné

    Découvrez notre critique détaillée du spectacle CONCERTO POUR DEUX CLOWNS CONCERTO POUR DEUX CLOWNS ❤️❤️❤️❤️ Le festival OFF, c’est aussi l’occasion de tomber sur des spectacles hors-normes. Les rois vagabonds, Julia Moa Caprez et Igor Sellem, incarnent deux clowns. Fidèle au genre, il y a Elle, clown blanc, digne et autoritaire, et Lui « L’auguste » avec ses bouffonneries, déstabilisant sa comparse. Mais même s'ils déploient énormément d’énergie pour faire rire le public, ces deux artistes sont avant tout des musiciens virtuoses, Elle armée d’un violon et Lui d’un tuba, mais aussi des grands acrobates. Les cascades impressionnantes, chutes et autres pitreries burlesques vont s’enchainer. Le tout en musique, jouée par nos deux artistes, souvent avec des postures totalement improbables. Le spectacle est quasiment muet, mais ils vont réussir à nous faire rire à gorge déployée, nous surprendre et nous émouvoir. Car cerise sur le gâteau, le spectacle finira même par prendre une dimension poétique et pleine de tendresse. Un spectacle grand public, porté de main de maitre par deux artistes complets. Utilisant le langage universel du rire, il réveillera l’enfant qui sommeille en vous. A découvrir. Partager

  • Critique ON NE VOYAIT QUE LE BONHEUR – Avis & analyse par Critiques d'un passionné

    Découvrez notre critique détaillée du spectacle ON NE VOYAIT QUE LE BONHEUR ON NE VOYAIT QUE LE BONHEUR ❤️❤️❤️❤️💛 Donc pour ma première journée au festival, j'ai commencé avec "On ne voyait que bonheur" et comment dire... ça fait bizarre cette sensation d'avoir vu ce que le festival pourra offrir de mieux cette année Dès l'ouverture de la pièce, sur une splendide chorégraphie, ponctuée de quelques mots qui résume parfaitement les grands et mauvais moment d'une vie, je me suis dit "Là il risque de se passer quelque chose de rare" Mais en fait, je n'imaginais pas le dixième de ce qui nous attendait Pendant 1h20 tout ce qui se passe sous nos yeux frise la perfection Les deux comédiens sont FABULEUX et à travers toute une palette de personnages viennent nous raconter cette histoire terriblement bouleversante, tout en étant parsemée de moment poésie rare et malgré le sujet très lourd on se surprend souvent à rire Le texte est puissant, profond, tout sonne vrai. L'évolution de ses personnages que la vie n'a pas épargné est parfaite Alors oui, j'ai a de nombreuses reprises eu les yeux en marée haute, j'en suis ressorti chamboulé, mais QUELLE leçon de vie sur l'espoir, la rédemption, le pardon Ce matin je disais que j'espérais qu'Avignon 2017 me fasse autant vibré que l'année dernière et en une seule pièce l'objectif est accompli Alors oui, mon festival commence à peine, mais j'ai déjà mon coup de coeur de l'année Et il y a de forte chances que j'y retourne d'ici la fin du festival Une dernière chose "Pourquoi il pleut?" Partager

  • Critique BADINE – Avis & analyse par Critiques d'un passionné

    Découvrez notre critique détaillée du spectacle BADINE BADINE ❤️❤️❤️ Badine est certainement un des plus grands classiques d’Alfred Musset. Une grande tragédie au texte magnifique sur un triangle amoureux. Salomé Villiers a eu la brillante idée de transposer la pièce dans les années 1950 et ça fonctionne à merveille. On est émerveillé par le décor, les costumes, ou les lumières. Cela amène un côté onirique à l’ensemble créant un contraste avec le côté profondément tragique de l’œuvre. Mais c’est surtout le choix d’incorporer des chansons qui ravi le spectateur intensifiant la fraicheur et la poésie qui survole le spectacle. Et si les chansons sont des standards des fifties, on y retrouvera bien des paroles tirées des œuvres de Musset, et on sera envouté par la voix de Milena Marinelli, dans le rôle de la naïve Rosette. Elle arrive ainsi, sans dénaturer les propos de la pièce, à offrir une modernité à la pièce la rendant accessible au plus grand nombre et permettant aux non-initiés de découvrir l’univers de Musset et la beauté de ses textes. Partager

  • Ce qu’il me restera : cette émotion aussi foudroyante que sincère…

    Découvrez notre critique détaillée du spectacle CEUX QUI RESTENT CEUX QUI RESTENT ❤️❤️❤️❤️ Ce qu’il me restera : cette émotion aussi foudroyante que sincère… Théâtre le Grand Pavois - 13h35 Etienne, un trentenaire accompagne sa mère malade en Suisse, où celle-ci a décidé de mettre fin à ses jours par suicide assisté... Alors oui, le sujet est lourd, et aurait très facilement pu tomber dans le pathos, mais c'était sans compter sur la finesse d'écriture et surtout sur une incroyable Anne De Peufeilhoux. La comédienne est d'une justesse inouïe qui vient transpercer le cœur du public à chaque réplique. Elle m'a submergé d’émotions par sa façon de nous évoquer ses souvenirs et de nous dire à quel point elle a aimé la vie. Car si le spectacle traite bien du suicide assisté, il le fait avec une grande sensibilité, et au contraire, il célèbre la vie dans tout ce qu’elle a de plus beau… Pour ne pas tomber dans le sentimentalisme gratuit, le spectacle fait le choix judicieux de mettre en parallèle cette histoire avec la rencontre entre Etienne et sa Juliette. Il y sera donc beaucoup question d'amour, avec d'un côté les premiers "je t'aime" et de l'autre ceux qui sonnent comme un adieu. Plusieurs fois, la pièce frôle la ligne du mélodrame sans jamais la franchir et évite bien souvent les discours larmoyants. La pièce transpire de tendresse et de nostalgie, mais aussi d'humour et elle le fait avec un équilibre délicat et parfaitement maitrisé. Car bizarrement, on rit beaucoup, sans que cela aille à l'encontre du propos de la pièce. Ce spectacle a réussi à jouer à la perfection avec mes émotions, essuyant souvent d'un rire les larmes que je ne pouvais retenir. Et si on m'avait dit que j'allais fondre en écoutant du Sardou ! Mais surtout, cette pièce m'a donné une envie furieuse de courir dire à ma mère à quel point je l'aime... Partager

  • Une comédie d'entreprise qui déraille avec panache

    Découvrez notre critique détaillée du spectacle GAGNANT GAGNANT GAGNANT GAGNANT ❤️❤️❤️💛 Une comédie d'entreprise qui déraille avec panache Condition des Soies - 18h50 Avec GAGNANT GAGNANT, Gilles Dyrek signe une comédie d’entreprise aussi hilarante que redoutablement lucide. On assiste à une convention professionnelle, a priori anodine, où vont s’enchainer une succession de dérapages, couacs techniques, et autres tensions internes… Mais derrière cette comédie se cache une mécanique bien huilée de satire sociale. Dyrek critique ainsi les travers du monde du travail et sa communication de façade occultant les réels problèmes des entreprises. La pièce sent le vécu. Même si les situations sont souvent absurdes et poussées à l’extrême, chaque spectateur qui a travaillé pour un grand groupe s’y retrouvera. Le comique de situation, maîtrisé de bout en bout, provoque l’hilarité générale, sans jamais tomber dans la facilité. Gilles Dyrek ne se contente pas d’écrire et de mettre en scène : il interprète également Stéphane, un infographiste aussi maladroit qu’attachant, véritable révélateur des tensions qui plombe ce meeting. Il y a du Chaplin dans ce personnage, dont les bourdes involontaires font avancer l’intrigue autant qu’elles déclenchent les rires. Autour de lui, une distribution énergique et parfaitement rodée: Séverine Debels, Benjamin Alazraki, Jean-Gilles Barbier, Xavier Martel… Tous campent avec justesse des figures familières du monde du travail : PDG dépassé, directeur commercial aux élans sportifs, DRH zélée… Les stéréotypes sont là, mais souvent traités avec finesse et second degré. La mise en scène rythmée détourne avec malice les codes de meetings : micro en panne, PowerPoint capricieux, discours improvisés... Chaque incident devient prétexte à un gag parfaitement orchestré. Et même si certains passages fonctionnent moins bien, la pièce trouve un équilibre entre efficacité comique et regard social. Le spectacle ne cherche pas à donner de leçon, mais il interroge subtilement sur la communication d’entreprise, le pouvoir hiérarchique, l’absurdité des process… On rit beaucoup, souvent à gorge déployée, mais on en ressort aussi avec cette petite sensation d’avoir été mis face à un miroir. GAGNANT GAGNANT réussit son pari : faire d’un séminaire raté une heure vingt de théâtre à la fois jubilatoireet intelligent. Une comédie à recommander autant aux amateurs de théâtre qu’aux salariés en quête de défoulement… Partager

  • Des mots pour soigner les maux, et de l’esprit pour raviver la joie

    Découvrez notre critique détaillée du spectacle Y’A DE LA JOIE ! Y’A DE LA JOIE ! ❤️❤️❤️❤️ Des mots pour soigner les maux, et de l’esprit pour raviver la joie Théâtre des Lucioles - 11h50 Avec Y’A DE LA JOIE !, Michaël Hirsch nous livre un seul-en-scène d’une rare élégance, où l’humour côtoie la poésie, et où la légèreté du récit n’efface jamais la profondeur du propos. Dès les premières minutes, on est saisi par la finesse de l’écriture : les jeux de mots fusent, ciselés avec une précision digne des plus grands : Desproges, Devos, et autres orfèvres de la langue française. Mais derrière la drôlerie et l’esprit, Hirsch nous parle aussi d’un sujet grave : la dépression et la quête du bonheur. Et il en parle avec une sincérité désarmante, sans jamais tomber dans le pathos ni la leçon. C’est justement cette capacité à aborder l’intime avec délicatesse qui rend le spectacle si touchant. Il y met beaucoup de lui-même, et cela se ressent. Il crée une vraie complicité avec le public, une forme d’intimité rare sur scène, qui donne à ses mots un écho singulier. Sur le plan du jeu, Michaël Hirsch impressionne. Il passe avec aisance d’un personnage à l’autre, chaque voix, chaque posture étant finement caractérisée. Mention spéciale à son incarnation savoureuse, et totalement jubilatoire, de Patrice Luchini, aussi décalée qu’inspirée. Y’A DE LA JOIE ! est un spectacle complet : un moment d’humour intelligent, un exercice de style maîtrisé et un témoignage sensible. Il interroge, sans lourdeur, ce que signifie "être heureux" aujourd’hui, et comment trouver de la lumière dans l’obscurité. Bref, une heure quinze d’esprit, d’émotion, de justesse et… de joie. Partager

  • Critique WOK'N WOLL – Avis & analyse par Critiques d'un passionné

    Découvrez notre critique détaillée du spectacle WOK'N WOLL WOK'N WOLL ❤️❤️❤️💛 Le public se retrouve face à deux virtuoses musiciens. Car soyons clairs, l'un accompagné de son piano, l'autre de son violon, musicalement, la prestation qui s'offre à nos oreilles, c'est du grand art. Comme le titre du spectacle l'indique, on aura le droit à un grand mélange de styles, passant de la musique classique, au rock, en passant par le rap, le flamenco ou encore la musique celtique... Et quoi de plus fédérateur que la musique pour attraper un public ? Peut être l'humour... Et ça nos deux artistes l'ont bien compris, car on rit énormément. Et ceci avec très peu de dialogues, principalement par le biais de leurs joutes musicales, leurs mimiques et ce côté burlesque qui rend le spectacle si universel. On rit, on chante, on exulte même quand ils se mettent à jouer des morceaux improbables comme Highway to hell d'ACDC. Leur but est de nous faire passer un grand moment de divertissement : la mission est réussi haut la main. Partager

  • DANS UN ETAT CRITIQUE |

    Saison 2 - Épisode 3 Vous êtes bien dans un état critique, saison 2 épisode 3 ! Au programme aujourd’hui, disons le, on a du boulot, avec la grosse sortie « Chien 51 » et la maison pleine de dynamite de Bygelow sur Netflix, « Predator Badlands ». Et on vous parlera d’un ou deux autres films qui nous ont plu. Toujours la rubrique, kékicépacé durant ce dernier mois dans les actus ciné et kékonenpense ? Nous aurons aussi une nouvelle rubrique, le point box office avec Olivier et tous ses chiffres. Le film vintage nous a fait découvrir ou redécouvrir un film de guerre, même si c’était pas la sienne. Et enfin, nos recommandations en fin d’épisode. Avec moi, Christophe du site Critiques d’un passionné & Olivier. Et peut-être qu’un jour, on reverra Florian ! Je suis Lilian et on commence tout de suite après la virgule ! Retrouvez-nous sur les plateformes suivantes : Spotify Youtube Deezer Apple Podcasts Podcloud.fr Podcastaddict

  • Portrait de famille entre chien et chat

    Découvrez notre critique détaillée du spectacle ROLLEKEBOL ROLLEKEBOL ❤️❤️❤️💛 Portrait de famille entre chien et chat La pièce va nous faire découvrir cette famille dysfonctionnelle incapable de s'aimer, autant que de réellement se détester. La mère déprimée qui doit réapprendre à vivre, le père malade qui doit apprendre à mourir, le fils perdu qui cherche sa voie, et la fille qui a préféré fuir pour atteindre ses rêves. Et au milieu de tout ça un chat et un chien… Le manque de communication sera au centre de la pièce, mais des thèmes universels tels que l'éducation et ce qu'on laisse à nos enfants, seront centraux et résonneront souvent chez les spectateurs. D'autant plus que l'écriture et l'interprétation brillent par leur naturel et donne souvent l'impression d'être dans la pièce avec ses personnages qui sont piégés entre l'amour et la haine qu'ils se portent. Sentiment de proximité amplifié par une mise en scène sobre et un travail sur les sons ambiants. Le choix risqué mais gagnant est d'avoir choisi de faire parler les deux animaux. Leur matérialisation aurait facilement pu faire sombrer la pièce dans le ridicule, mais loin de là… Notamment grâce au talent de la comédienne qui réussit à s’effacer pour ne laisser que l’animal face aux spectateurs. En plus d'apporter des apartés bienvenus, ces moments permettent au spectateur de prendre du recul sur les événements. Plus fort, le monologue du chien brille par la puissance émotionnelle qu'il dégage. Mais même si le sujet semble lourd, un humour caustique sera continuellement présant, jusqu’à un final aussi astucieux qu'efficace. Partager

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